Complément d'humeur

Vivre me prend tout mon temps

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Il faut que le monde bouge.

Hier soir, ParisCarnet, avec plein de gentils gens. J'étais vraiment fatiguée parce qu'ayant dormi 4 h les deux nuits précédentes, mais une Nacara survoltée est venue me chercher à la sortie du boulot, nous avons grignoté un morceau et avons rejoint cette foule eclectique d'allumés du net et de l'écriture. Et là, après avoir embrassé Lu, rendu hommage aux superbes jambes de Maïa (en jupe malgré la température pôlaire), et fait le tour de la table pour récolter ma moisson de bisous, je suis restée scotchée. Pas de chaises musicales pour cette fois... je me suis laissée embarquer dans une grande discussion avec Licoben et sa tendre Marie, et bien sûr une fois partie je ne m'arrête plus... Lu a dû me demander trois fois s'il devait vraiment m'attendre avant que je me décide à bouger, et malgré tout je suis frustrée de ne pas avoir pu conclure cette palpitante conversation !
Enfin voilà, cette fois encore c'était bien... et la convergence avec le texte ci-dessous n'est pas une coïncidence.

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Présentation

J'ai commencé à ouvrir les pages de mon carnet intime lors de mon passage à la non-exclusivité amoureuse, parce que j'avais besoin de poser des mots sur ce que je vivais et de le partager. J'aime garder ici des traces de moi, parce que je suis souvent surprise de retrouver longtemps après quelles furent mes pensées et émotions à un moment donné... ma démarche ignore toute pudeur, soyez prévenu.e.s. Ainsi donc, voici mes amours, ma vie en squat, et quelques réflexions politiques.