Complément d'humeur

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Haïku

Par Solveig, lundi 11 juin 2007 à 04:11 :: General :: permalien #295

Justice équitable ?
Révolte croît
Prisons flambent et bagnards rient.

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Commentaires

1. Le vendredi 15 juin 2007 à 12:19, par Escape

Flamber ta propre prison ?
Ton propre bagnard
Tu seras en vérité !

2. Le mercredi 20 juin 2007 à 20:18, par isa

Bonjour :)
Joli poème mais qui n'est pas un haiku désolée :) Il y a 17 syllable dans un haiku. Pour les étrangers, c'est en trois lignes (au japon en une seule sauf pour la présentation sur du papier pour la vente) de 5/7/5 ou en anglais de 3/5/3 pour les syllabes :)

3. Le mercredi 20 juin 2007 à 20:43, par Solveig

Oui je croyais que c'était 5/3/7 et c'est en fait 5/7/5... Faudra que je les réécrive !

4. Le jeudi 21 juin 2007 à 14:28, par Escape

D'autant que tu avais, en fait, composé un 5/4/8 à cause de la règle du "e muet" en prosodie française

(Ré-vol-teu-croît / Pri-sons-flam-beu-et-ba-gnards-rient)

À refaire, donc ?

5. Le dimanche 1 juillet 2007 à 18:46, par tagou

Salut a toi ...

Alors que je voulais verifier l'orthographe du mot déconvenue chez google, je fus précipité chez toi ...
J'ai pris le temps de te lire, de te feuilleter , de t'effleurer peut etre ... J'ai lu chez toi beaucoup de mes états ...
tu m'as touché et je tenais à te l'ecrire ...
Entre félure et poésie j'ai entrevu le beau de toi ...
Merci d'exister ... Car même si notre besoin de consolation est impossible a rassasier -merci Stig- il est toujours doux dans l'abime de nos solitudes de croiser des égaux - ego -

Etrange voyeur attiré par tes mots ...

Avec tendresse ... T

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Présentation

J'ai commencé à ouvrir les pages de mon carnet intime lors de mon passage à la non-exclusivité amoureuse, parce que j'avais besoin de poser des mots sur ce que je vivais et de le partager. J'aime garder ici des traces de moi, parce que je suis souvent surprise de retrouver longtemps après quelles furent mes pensées et émotions à un moment donné... ma démarche ignore toute pudeur, soyez prévenu.e.s. Ainsi donc, voici mes amours, ma vie en squat, et quelques réflexions politiques.